café des endeuillés

UNE RENCONTRE MENSUELLE GRATUITE (EN LIGNE)

Dans une société qui accorde peu de place au deuil et à la mort, il est parfois difficile de trouver un espace pour exprimer et assimiler ce que l’on ressent. Au Café des Endeuillés, nous nous réunissons, souvent en compagnie d’inconnus, pour discuter ensemble du deuil et de la mort.

L’objectif de ces rassemblements est de mettre à la disposition de chacun un espace sûr pour partager, mais aussi pour entendre les histoires et les expériences des autres, afin d’être vu, entendu et de se sentir soutenu dans notre processus de deuil et de réflexion sur la mort. Il s’agit d’une discussion ouverte, sans ordre du jour, objectifs ou thèmes, un cercle de partage plutôt qu’une séance de thérapie ou de conseil.

Nos rencontres sont proposés :

  • À but non lucratif (gratuit).
  • Dans un espace sûr, respectueux, confidentiel et inclusif (toutes religions, origines culturelles, tous genres et toutes orientations sexuelles sont les bienvenus)
  • Sans intention d’amener les gens à une conclusion, un produit ou une action quelconque.

Rejoignez le prochain Café

  • En Francais – le dernier dimanche du mois
    Dimanche 19h-20h30 (CET – Paris)
  • En Anglais – le dernier mardi du mois
    Mardi 19h-20h30 (AEDT – Sydney Time)

Merci d’être à l’heure car la salle fermera 10 minutes après l’ouverture.
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ejoignez-nous avec quelque chose à boire ou à mange!

Origine

La concept a été élaboré par Jon Underwood et Sue Barsky Reid (Grande-Bretagne), inspiré par le sociologue Bernard Crettaz (Suisse). Ces rassemblements ont lieu dans le monde entier, souvent connus sous le nom de Cafe de la Mort, Cafe-Deuil ou Death Cafes.

« Le chagrin exprimé à haute voix, de façon habituelle ou non, non chorégraphiée et sans artifice, pour un être cher que nous avons perdu, pour un pays ou un lieu que nous avons quitté, est en soi le plus grand éloge que nous puissions leur faire. Le chagrin est un éloge, car il est la voie naturelle par laquelle l’amour rend hommage à ce qui lui manque. » ~ Martin Prechtel

Reconnaissance

Je tiens à reconnaître que mes ancêtres ne sont pas les descendants d’un seul peuple mais de divers groupes qui ont traversé terres et rivières, de gré ou de force. J’invite par ailleurs à l’empathie et au respect à l’égard des populations (humains et non humains) qui endurent les méfaits de la colonisation et de l’occupation de leurs terres ancestrales et à l’égard de ceux contraints de les fuir en raison de bouleversements humains ou climatiques.

Restons en contact

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